Ce n’est plus un secret pour personne :
Tôgbè Yéton ne porte pas de gants sur certains sujets, si ce n’est sur eux tous. L’un de ces sujets, qui suscitait une grande controverse autour du personnage, est celui des rapports sexuels.
Le rappeur, sans voiler ses mots ou couvrir leur nudité, invite calmement son public à... forniquer. Évidemment, les personnes à cheval sur les normes critiqueront le single, mais pour le public de Tôgbè, il n’en est rien.
En réalité, le son est propice lorsqu’à deux (homme et femme), on se retrouve dans une pièce, les volets et fenêtres fermés, et la porte close à double tour... Avec ce morceau en fond sonore dans la chambre, les instants deviennent magiques.
Grâce à "Mi yawonou", Tôgbè est définitivement entré dans le top des rappeurs triviaux, mais adorés par le public. En effet, quelques heures après sa sortie, le single a battu tous les records de ventes sur VolunStore. Résultat, les messages de soutien à l’artiste, les statuts et les vidéos ne cessent de défiler.
Avouez que quand ça parle de troisième jambe, ça devient intéressant. Pour cela, Tôgbè a pris le temps de concocter un morceau riche en imagination. Comme exemple, il dit avoir passé une semaine à « frapper awoko », et être prêt à se déverser dans n’importe quelle fille qui frappe à sa porte. C’est ainsi qu’il se retrouve au lit avec Chantal. Mais Chantal ne suffisant pas, il lui demande d’inviter une amie à elle pour que la fête soit belle. N’avait-il pas déjà dit qu’il a un ninkouin qui ne pardonne pas ?
