En l’espace d’un an et quelques mois de carrière, Tôgbè Yéton a réalisé l’impossible : fédérer des milliers de personnes, de tous horizons, à sa musique qui n’est pas très catholique. Et ce n’est pas tout : pour sa prochaine sortie, il rejoint un rang, le rang des artistes dont un projet (single, mixtape ou album) est mis en vente.
En dépit des critiques acerbes que Tôgbè a reçues en début de carrière, il demeure aujourd’hui un incontournable de la musique urbaine. En parlant justement de sa carrière, il fera son premier concert masqué le 23 décembre et, en prime, sortira son premier album. Deux événements en un que l’on ne saurait manquer. Mais pour l’heure, on en n’est pas là.
On en est à sa prochaine sortie "Mi wayonou" (Baisez) disponible sur Volunstore à 200 FCFA à compter du 13 octobre. Aussitôt annoncé, aussitôt relayé par des centaines de publications sur la toile. Est-ce que le gamabada et le kinninsi de Tôgbè n’y sont pas pour quelque chose ? On lui avait posé la question. Il nous a répondu dans cette interview réalisée avec Tabla TV.
