C'est certain, cette sortie de Max Le Rouge fera forte audience. Et s'il décide d'y ajouter des séquences d'images, ce sera encore plus aguichant. En effet, il collaborera avec l'un des artistes les plus populaires qui soient dans la musique urbaine béninoise : Blaaz. Après s'être offert les services de Dibi Dobo sous son ex-label, Max Le Rouge enchaîne avec Blaaz.
Il y a deux raisons pour lesquelles "Plaisantin" attire l'attention. Premièrement, parce qu'on veut connaître le discours de Max Le Rouge. Pour cause, à chacune de ces sorties, depuis son départ de Soyimavo Music, il s'intéresse aux faits sociaux : relations entre amis, traitrise, haine, égoïsme, et argent s'il s'inscrira dans ce même registre ou jouera-t-il une autre carte. Si oui, laquelle ?
La seconde raison d'écouter ‘"Plaisantin" réside dans sa teneur, sa forme. On parle après tout d'une collaboration avec Blaaz. Et quand c'est du Blaaz, forcément ça attire, ça accroche, ça suscite controverses, critiques et débats. Oui, c'est du Blaaz. Au final, ce son présente deux artistes au cœur de l'actualité mais sur des parcours différents.
Ah oui, il faut aussi dire que c'est l'ancienne et la nouvelle génération qui poseront.
