Après un succès d'estime plutôt flatteur, avec tout ce que ça implique de visibilités dans les médias nationaux, de buzz dans le milieu même du showbiz, de fredonnements dans les bars, dans les boîtes, dans les rues, dans les vons, et même dans les maisons où "les bonnes sont bonnes" ; il est à constater que l'artiste R&B Dal J n'a pas su en profiter pour asseoir son aura.
Pire, il n'en n'a pas suffisamment profité, soit pour tourner, soit pour se tailler une présence à l'internationale. Résultat : peu de petits concerts, ou de showcases, ou de journées culturelles, à son actif et son clip n'a pas été vraiment diffusé en dehors de chez nous. A croire que son équipe est restée inactive. A moins qu'en fait, il n'ait pas d'équipe ?
A croire que même lui ne s'attendait pas à un tel impact. A croire surtout que désormais il craint de sortir quoi que ce soit d'autre. Appréhende-t-il des possibilités de flop ? Manque-t-il d'assurance ? Ou en vérité, ne fait-il la musique que par passe-temps et non, par vision ambitieuse de carrière formelle ?
La preuve : Depuis le succès de « La bonne est bonne », plus de nouvelles concrètes de l'artiste. C'est d’ailleurs pourquoi, l'on se questionne : alors Dal J, on paresse ?
