« Devenir Beatmaker, c'est maîtriser toutes les étapes de la Production Musicale : la Composition, les Arrangements, le Sound Design & le Mixage Audio jusqu'au Mastering Final, à l'aide d'un séquenceur Audio Numérique » comme le pratique Mike Bangerz. Ce Beatmaker d'origine béninoise vient d'accomplir l'une des grandes prétentions d'un musicien professionnel en acceptant la signature d'un contrat d'Edition et en tant que Compositeur à Universal Music.
Pour y parvenir, il a cumulé un riche parcours dans le domaine du showbiz international qui nous fait dire qu'il pose au quotidien des actes pour demeurer dans la cours des grands.
Son agilité à manipuler les différents outils de composition, lui a valu la sollicitation récente des rappeurs Fababy, sur son projet « Anges et Démons » et d'MHD pour la composition du fond musicale du titre « Amina » extrait de son dernier album.
Il travaille présentement sur les prochains singles de Singuila, de Jupiter Davibe, Doc Gyneco, de Fanicko. Avant eux, d’autres grands noms de la scène urbaine avaient déjà reçu sa signature sur différents projets à savoir Mokobé, Black Kent, Luidji, Lacrim,… De quoi attiser la convoitise des majors compagny !
Et Lorsque Mike Bangerz parle de l'essence de sa passion pour la composition musicale, ses propos prennent des ascendances auxquelles se mêlent nostalgie, défis et choix : « J’ai commencé la musique très tôt avec le piano. A 5 ans mon père m’a offert mon premier piano et a voulu que je prenne des cours et de là, est venue ma passion pour le piano et la musique en général… Donc très jeune j’ai commencé à composer des thèmes de jazz (c’est la seule musique que je connaissais à l’époque), ensuite j’ai voulu reproduire des musiques que j’entendais à la radio et faire comme les grands compositeurs de l’époque (Timbaland, Pharell…) et c’est comme ça que tout à commencé en matière de composition. »
Ainsi, de l’attachement à son piano d’enfance a germé une abnégation au travail qui lui vaut aujourd'hui cette signature chez Universal Music. Preuve une fois de plus que le talent est l’apanage d’un long et parfois périlleux parcours d’apprentissage, qu'il faut entamer depuis la tendre enfance.
