Depuis lors, la musique adoucit les mœurs dit-on, mais de nos jours, elle occupe une place primordiale dans le quotidien de l'homme, et cela, peu importe sa culture, sa religion, et sa langue. Mais au-delà, elle nous emporte vers des horizons plus profonds, lorsque celui/celle qui la fait, nous séduit de par son talent et son savoir-faire en la matière. Ce qui est envisageable avec OMC-ID.
Passionné de la musique urbaine, OMC-ID répond à l'état civil au nom d’Idriss Folahan Ogoubi Amao. C’est un artiste chanteur, et compositeur originaire de Porto-Novo (capitale du BÉNIN) né un 14 juin à Libreville, qui décida de faire chemin dans l'univers musical.
Ayant pétri son talent de tout ce qui l’incarne ; il avait déjà su émerveiller son public, par son 1er album, lancé en Août 2013 à Porto-Novo. Cet album était à la fois fait de gracieuses mélodies; de flow et de technique, propre à la personnalité de l’artiste.
Quinze (15) titres ; baptisé " Ferme les yeux et imagine ". A ses côtés, de grosses pointures du rap porto-noviens ; notamment ALI, WP BABAJEJE, COOL BLACK, SK EKPINZI, SALIM, NAG-B et BRONZO.
Seulement voilà : résider au Gabon (Libreville), exige parfois des retraits stratégiques afin de se ressourcer, de se rassurer, de se rénover, et de déterminer la nouvelle dynamique dans laquelle OMC-ID envisageait se relancer.
Ainsi donc, le rappeur a pris le temps de mûrir la possibilité d’une nouvelle sortie d’album.
Et décision prise : ce second opus de sa carrière sera officiellement balancé en Décembre 2017.
Toutefois, dans les prochains jours, afin de jauger l’impact de ses travaux effectués depuis le temps, un premier single, extrait annonçant
le projet, sera mis à disposition.
Nous savons en exclusivité que le titre de ce single est " L'argent ne fait pas le bonheur ". Ce son sera-t-il digne du temps de recul que s’est accordé OMC-ID ? Quel traitement fera-t-il de ce sujet souvent abordé par les humains, et même des rappeurs, dans l’une des phases cruciales de leur vie ? A quoi devons-nous nous attendre ? Bientôt, nous saurons !
