Retour sur les 72 heures du WAHH 2017 !

Il faudra dorénavant conjuguer au passé l'événement ayant marqué la célébration du hip-hop dans toute sa profondeur durant l'année 2017
Si dans les films et contes Disney, les histoires se terminent souvent par la maxime « Tout est bien qui finit bien », qu'en est-il de la messe célébrée du 27 au 29 juillet ?

Le premier jour, la grande salle de conférence de Bluezone, décorée dans de magnifiques couleurs et drapée par les batchs des différents partenaires de l'événement a été prise d'assaut par un grand nombre de fans de la musique venus prêter attention aux différents forums et débats.
C'est ainsi que de discussions en discussions, de débats en controverses, chacun en eut pour son compte. Les participants (ainsi que le public) firent une sorte de procès des maux et damnations qui portent atteinte à l'émancipation d'une musique adorée de tous.

La deuxième journée fut elle aussi pleine d'émotions en raison de son programme tout aussi alléchant ayant le L'impala comme site d'accueil. Avec à la clé une soirée enjolivée suivie de la suite du WAHH Contest (compétition mise en avant la veille) le 28 juillet fût tout aussi affriolant.
De tout le programme, le troisième jour a sûrement été celui le plus mémorable s'installant dans les mémoires et implantant ses souvenirs dans l'esprit des férus de sensations fortes.

Ce soir-là, le Concerto prit feu. Pas un feu physique ou matériel puisque autrement les sapeurs-pompiers seraient intervenus, mais un feu invisible, et pourtant étincelant à la ronde. Les artistes défilaient, le public étaient en transe. Les prestations se succédaient, l'ambiance électrique s'appesantaient de plus en plus, car chacun y allait à plein gaz.
Et la foule ! Une foule chargée et électrisée, s'abreuvant des passages artistiques avec au fond du podium, un graphiste qui faisait son œuvre pour le plaisir des yeux. Un plaisir non seulement pour les yeux, mais aussi pour les oreilles ! Un plaisir renouvelé par le passage des danseurs, les "street dancers" maîtres de leurs corps et maîtres des émotions de l'assistance.

« Tout est bien qui finit bien » n'est-ce pas ? Durant ces 72 heures, n'avez-vous pas ressenti un amour encore plus poussé et plus profond pour le monde du hip-hop ? Ne vous êtes-vous pas laissé emporté par le vent léger et doux qui soufflait sur la ville ?
Si vous aimez le monde artistique, nul doute que ces trois jours ont rechargé les batteries de tous et de chacun.
Que Vive le WAHH !
Que Vive le hip-hop à jamais !
Hip-hop for life !

  • Le plan de Dieu
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