Shamir se prononce sur son interpellation par les forces de l'ordre à Houeyiho

Vendredi 06 avril 2018 : dernier jour de la tournée des collèges organisée par Shamir pour faire découvrir "Mon Essentiel" aux élèves. Il sonnait pratiquement 18h lorsque des policiers, descendus d'un véhicule, interpellent et emmènent Shamir au poste de police de Houeyiho. Laissons-le nous raconter ce qui s'est passé...

Voluncorp : Pourquoi as-tu été interpellé par la Police il y a une dizaine de jours?

Shamir : Pour faire court, il y avait un mec qui n'a pas aimé nous voir chiller et interagir avec les élèves. Il s'est pointé en criant sur tout le monde. Nous nouveau sommes chauffés un moment puis avons continué notre rencontre avec les collégiens. Une heure après, il réapparaît avec une unité de police.

Voluncorp : Comment s'est déroulé la discussion avec les forces de l'ordre au poste de police ?

Shamir : Pas mal. Avant le poste, il faut revenir sur la descente opérée par l'inspecteur Tonato et son unité. Nous igonorons tout ce que le mec est allé dire là-bas, tout ce qu'il a promis, toutes les ficelles qu'il a tirées pour déplacer une unité de police si rapidement. Mais ils sont venus et ont été professionnels. L'interpellation aurait pu être plus grave vu le contexte actuel. Pour des raisons de confidentialité, je ne saurais divulguer les échanges que nous avons eues avec nos forces de l'ordre.

Voluncorp : Penses-tu que cette interpellation soit le fruit de personnes ayant opéré dans l'ombre ?

Shamir : Sincèrement, je ne crois pas. Je ne sais pas qui a eu le temps d'orchestrer tout ça. C'est juste un mec qui s'ennuyait et a voulu gâcher la fête. Des gens comme ça, avec des petits pois dans le crâne, il y en a partout !

Voluncorp : T'es tu senti triste après l'interpellation ?

Shamir : Ce qui m'a attristé, c'est qu'il ait réussi à déplacer une unité qui a passé des heures ensuite à gérer une plainte illégitime. Quelqu'un, quelque part, avait peut être besoin de la présence de la police pour quelque chose de plus important, une situation plus sérieuse. Lui, décide de la faire venir juste parce qu'il peut. Malheureusement, ce sont nos réalités. Mais bon, tout ça, à qui est-ce la faute?

Voluncorp : 8 collèges visités de mars à avril. Quel bilan dresses-tu ?

Shamir : Un bilan très positif ! Nous avons fait de très belles rencontres. Être au contact de mes fans, ressentir leur amour, les voir réciter les paroles, c'est magique. Ça booste ! Merci à tous nos partenaires, aux élèves et à tous ceux qui ont permis que cette tournée soit une réussite.

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